Un vidéaste pour filmer le Mun

Pouvez-vous vous présenter brièvement ?

Je m’appelle Jules Clamens. Je suis chargé de la communication au LFI Louis Massignon de Casablanca. C’est dans cette optique que nous créons des vidéos avec ma collègue pour alimenter les pages Instagram et Facebook de l’établissement et en promouvoir les projets. Je suis donc un prestataire de services spécialisé dans la production audiovisuelle. Aujourd’hui, j’assiste les élèves investis dans MASSTV et OSUITV à mener à bien leurs projets, notamment les interviews.

Pouvez-vous expliquer la formation dans laquelle vous vous êtes orienté ?

J’ai une formation en audiovisuel. Après plusieurs fausses orientations, j’ai finalement trouvé ma véritable vocation lorsque j’ai intégré « CEV Madrid - Escuela Superior de Comunicación, Imagen y Sonido», l’équivalent d’un BTS portant sur la réalisation de projets audiovisuels.

Mais c’est surtout lors de mon installation au Mexique, quand j’ai eu l’occasion de travailler aux côtés de réalisateurs ayant des dizaines d’années d’expérience, que j’ai réellement appris le formidable métier de vidéaste.

Qu’est-ce qui vous a motivé dans cette voie?

J’ai toujours eu une certaine sensibilité pour l’image en général que ce soit le dessin, la peinture ou encore la photographie. Il s’est avéré que je suis assez doué dans ce que je fais, et j’ai donc décidé de poursuivre dans cette voie. Les retours très positifs sur mon travail ne font que m’encourager à continuer sur cette route.

Le cahier des charges qui vous a été fourni ? Quelles consignes vous furent données ?

Aucune consigne ne nous a été donnée si ce n’est de capturer les impressions des différents membres de ce grand projet sur le vif et montrer le plus fidèlement possiblement les réels ressentis des uns et des autres.

Est-ce que vous articulez interviews et tournages ?

Pour l’instant je me suis surtout concentré sur les projets que l’on me confie car comme vous le savez, les tournages exigent beaucoup de fonds et donc en ce moment j’essaie surtout de mettre de l’argent de côté dans l’attente de jours meilleurs où je pourrai réaliser mes idées et ambitions… inscrites dans mon cahier de notes.

Propos recueilli par Inas Zahir et Fayçal Guesmi.